Les escrocs de la crypto est un film documentaire sorti en 2024 sur netflix. Inspiré de crime réel, il raconte l’histoire de l’entreprise centra tech qui est l’une des grosses arnaques jamais perpétrées aux Etats Unis sur la cryptomonnaie. Dans le documentaire, le personnage principal, Ray trapani est très glorifié. Par moment, dans les scenarios, on le place même comme victime. Mais ce que le public ne sait pas, c’est qu’il y a des vérités qui ne sont pas dites dans ce film.
Les escrocs de la crypto fait fureur sur Netflix
Quelque temps après sa sortie, le film Les escrocs de la crypto a été dans le top tendance sur Netflix. Très travaillé, le thème du documentaire qui se base sur l’arnaque et la cryptomonnaie est très apprécié. Le personnage principal a aussi facilement reçu la sympathie du public. Dans le film, on l’identifie comme une personne rebelle, avide d’argent mais quand même réfléchie. Pourtant dans la réalité, ce n’est pas le cas.
Les vérités qu’on ne dit pas dans le documentaire
Les escrocs de la crypto est un documentaire qui est fait pour plaire au public, mais pas pour raconté la vraie vérité. En effet, ce film de netflix est assez loin d’être fidèle à la vraie histoire de Centra tech et de ses fondateurs.
Ray trapani est le cerveau du scam à la carte à la crypto
Comme il a été dit, dans le film, c’est Ray trapani qui est le plus mis en avant. Mais tout au long du documentaire, il est passé d’escroc à héro. Par contre, c’est l’un des cerveaux de cette arnaque. Il blâme Sam sorbee (Sam Sharma) d’avoir tout orchestré alors qu’il est tout aussi coupable que lui. Trapani s’en est sorti dans cette avec car il a collaboré avec le FBI. Il a balancé ses amis sans aucun état d’âme. D’ailleurs, il n’en est pas à son premier coup car jeune, il a déjà témoigné contre ses amis pour éviter la prison. Normalement donc, il devrait aussi subir le même sort que Sam c’est-à-dire écoper d’une peine de prison de 8 ans.
Sam sorbee a réellement voulu développer centra tech
Contrairement à Ray trapani qui ne s’intéresse qu’à l’argent, Sam sorbee a réellement eu la volonté de développer Centra Tech. En effet, c’est lui qui a décidé d’ouvrir un bureau et de recruter des vrais développeur pour concevoir un blockchain et des jetons de sécurité à l’entreprise. Malheureusement, les moyens d’ont pas permis de créer concrètement la carte de débit crypto de Centra car les argents récoltés sont surtout dépensés par les fondateurs qu’être investis dans l’entreprise.
Robert Farkas n’a presque rien à avoir avec l’affaire
Robert Farkas est celui qu’on peut réellement qualifier de victime. Dans le documentaire, son personnage est un peu mis à l’écart. Ayant eu une peine de prison de un an, Farkas n’a pourtant pas participer directement à ce scam. Mais en échangeant avec Nathaniel Popper journaliste chez New York Times à l’époque, il est devenu impliqué dans l’affaire. En effet, dans son investigation, ce dernier a pensé que Farkas tout comme Sam et Trapani était aussi dans le coup pour le montage de ce scam.